Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) Un fleuron français de la recherche et de l'innovation

Anticipant le rôle grandissant du nucléaire dans la fin du XX^e siècle, le Général de Gaulle décide de créer un organisme de recherche dans ce domaine dès le lendemain de la guerre. Le CEA est inauguré en octobre 1945 avec la volonté de poursuivre des recherches autour du nucléaire dans les champs de la science (applications médicales), de l'industrie (électricité) et de la défense nationale. L'institution a, depuis, élargi son périmètre à la physique, la chimie, la biologie et les nouvelles technologies de l'énergie et les sciences de la vie.

Le CEA se déploie autour de neuf centres en France et emploie 16 000 collaborateurs. Depuis 2009, il devient le « Commissariat à l'Energie Atomique et aux Energies Alternatives », traduisant la volonté française d'équilibrer les efforts de recherche entre le nucléaire et les énergies renouvelables.

En 2016, Reuters établit un classement mondial de référence des « organismes de recherche en termes d'innovation ». Il classe alors le CEA en première position, se fondant sur dix critères clés (nombre de publications recensées, volume de brevets enregistrés... ).

Création de l’infrastructure pour la modélisation des maladies infectieuses et des thérapies innovantes (IDMIT)

A Fontenay-aux-Roses, en région parisienne, le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) ouvre en 2017 le centre IDMIT, centre de recherches précliniques dédié aux maladies infectieuses humaines. Un centre qui constitue une infrastructure unique en Europe.