Espérance banlieues vise à aider chaque enfant à réussir, devenir responsable et s’épanouir au sein de la société française. Cette association a été créée en 2012 par Eric Mestrallet, entrepreneur et père de famille. Son objectif : favoriser l’accès de tous les enfants de banlieue à une instruction de qualité.

Répondre aux besoins éducatifs des banlieues

Au sein des établissements situés en banlieue, la réussite scolaire des élèves est primordiale. Cette exigence académique se traduit par un renforcement des fondamentaux comme les mathématiques et le français. Les effectifs réduits à quinze élèves par classe favorisent un climat de confiance.

Dans le modèle développé par Espérance banlieues, les enfants apprennent à vivre ensemble et à être responsables les uns des autres. Ils activent ainsi les compétences sociales qui leur seront utiles tout au long de la vie.

  • ​Le cours Henri Guillaumet, école Espérance banlieues d’Orléans, lors de la crise du coronavirus et à l'heure de la réouverture des classes partout en France.
    © Edouard Elias pour la Fondation Bettencourt Schueller
  • ​Le cours Henri Guillaumet, école Espérance banlieues d’Orléans, lors de la crise du coronavirus et à l'heure de la réouverture des classes partout en France.
    © Edouard Elias pour la Fondation Bettencourt Schueller
  • ​Le cours Henri Guillaumet, école Espérance banlieues d’Orléans, lors de la crise du coronavirus et à l'heure de la réouverture des classes partout en France.
    © Edouard Elias pour la Fondation Bettencourt Schueller
  • Le cours Henri Guillaumet, école Espérance banlieues d’Orléans, lors de la crise du coronavirus et à l'heure de la réouverture des classes partout en France.
    © Edouard Elias pour la Fondation Bettencourt Schueller
  • ​Le cours Henri Guillaumet, école Espérance banlieues d’Orléans, lors de la crise du coronavirus et à l'heure de la réouverture des classes partout en France.
    © Edouard Elias pour la Fondation Bettencourt Schueller
  • ​Le cours Henri Guillaumet, école Espérance banlieues d’Orléans, lors de la crise du coronavirus et à l'heure de la réouverture des classes partout en France.
    © Edouard Elias pour la Fondation Bettencourt Schueller
  • ​Jeanne Huber, institutrice CP du cours Henri Guillaumet, école Espérance banlieues d’Orléans, lors de la crise du coronavirus et à l'heure de la réouverture des classes partout en France.
    © Edouard Elias pour la Fondation Bettencourt Schueller

Pour une réussite académique, éducative et intégrative

En coopération avec les parents, Espérance banlieues accompagne la croissance de l’enfant dans toute sa dimension. Les écoles du réseau enseignent aux enfants les règles de vie en société et la valeur du travail. Ce projet pédagogique donne ainsi aux parents leur rôle de premiers éducateurs. Elles les amènent par la confiance à travailler en pleine cohérence avec l’école.

Une nouvelle école qui dit non à la Fatalité ! - Episode 1 /4
Une nouvelle école qui dit non à la fatalité ! - Épisode 2/4
Une nouvelle école qui dit non à la fatalité ! - Épisode 3/4
Une nouvelle école qui dit non à la fatalité ! - Épisode 4/4

Accompagner le changement d’échelle d’Espérance banlieues

La Fondation Bettencourt Schueller soutient la Fondation Espérance banlieues depuis 2014. Son objectif : permettre à chaque jeune de prendre confiance, d’apprendre et de s’épanouir dans la société. Elle a contribué à l’expérimentation de la première école à Montfermeil. Puis en 2017, elle a apporté son soutien au « Réseau Espérance banlieues » pour développer les écoles et renforcer leur modèle pédagogique.

Les 10 ans d'Espérance banlieues

Le soutien de la Fondation dans le domaine de la Solidarité

Promouvoir une société dans laquelle chacun trouve sa place.

Voir tous les projets dans le domaine de la Solidarité