Après Home et 7 milliards d’Autres, le prochain film de Yann Arthus-Bertrand et de la Fondation GoodPlanet, HUMAN, dresse un portrait sensible de l’humanité. Ce film tourné dans près de 60 pays repose sur des entretiens avec des personnes de toutes conditions et des images aériennes inédites. Son objectif est de montrer qu’au coeur des histoires individuelles et des regards sur la vie, se trouvent d’incroyables ressources pour vivre et rendre le monde meilleur
Pour Yann Arthus-Bertrand, les défis écologiques, économiques et sociaux de notre époque ne seront surmontés que par un changement profond de civilisation que seuls nos choix et nos comportements individuels peuvent entraîner.
Le propos de HUMAN est de nous « faire aimer notre siècle ». De toucher et de mobiliser l’intelligence du cœur pour modifier les comportements individuels.
Et l’angle choisi est celui de l’empathie, du rappel émouvant qu’au-delà des différences, nous sommes tous confrontés aux mêmes questions fondamentales, dans notre vie, dans notre monde.
Selon le réalisateur, « HUMAN appelle à la révolte constructive : la révolte contre l’inertie d’un système dont on ne peut continuer à comptabiliser les dégâts en spectateurs impuissants ; la révolte pour construire en mobilisant nos énergies créatives pour transformer notre destin ensemble ». Yann Arthus-Bertrand nous pousse vers une nouvelle civilisation écologique, humaine et solidaire.
Tourné dans une soixantaine de pays, HUMAN prolonge 7 milliards d’Autres, déjà mené par la Fondation Goodplanet.
Le film se construit autour de deux éléments : des témoignages personnels sur les grandes questions universelles, des images aériennes qui célèbrent la beauté du monde.
Le film prend le parti de rencontres très personnelles pour illustrer l’humanité dans sa diversité, faire prévaloir ce qui nous lie sur ce qui nous divise, et poser progressivement « les bases essentielles de notre vie ensemble ».
Le propos du film en adéquation avec ses propres valeurs, le talent de Yann Arthus-Bertrand et sa capacité à mobiliser les consciences et la dimension d’intérêt général ont conduit la Fondation Bettencourt Schueller à soutenir la Fondation Goodplanet pour ce projet.